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Suzan Macaulay

Susan Macaulay fut la partenaire de soins pour sa mère qui vivait avec la démence. Comme résultat de cette expérience, elle est devenue une advocate passionnée pour défendre le droit à de meilleurs soins pour les personnes qui vivent avec l’Alzheimer et d’autres formes de démence. Elle est une fervente activiste, pour de meilleurs soins aux aînés, et elle a choisi de dédier sa vie à sa mère et aux nombreux autres comme elle qui étaient (ou sont encore) mal médicamentés avec des drogues antipsychotiques.

My Alzheimers Story

08sept.

20 FAITS CHOQUANTS SUR LA MALTRAITANCE DES PERSONNES ÂGÉES ATTEINTES DE DÉMENCE

L'Organisation mondiale de la santé définit clairement ce qu'est la maltraitance des personnes âgées: «actes simples ou répétés, ou manque d'action appropriée, dans une relation où il existe une attente de confiance, qui cause un préjudice ou une détresse à une personne âgée.» Les experts classent les personnes âgées abus dans six ou sept catégories différentes: financière, physique, sexuelle, émotionnelle, négligence, systémique et négligence. Plus d'informations sur les types d'abus ici (texte version anglaise).

J'ai pris la plupart des vingt faits choquants ci-dessous d'un webinaire organisé par BrainXchange (texte version anglaise) en juin 2016 et intitulé«Quand la démence et l'abus se rencontrent: démêler une combinaison perverse», mettant en vedette le Dr Samir K. Sinha, directeur de la gériatrie, Système de santé Sinaï et l'Université Réseau d’hôpitaux en Ontario, Canada. Une vidéo du webinaire d’une heure apparaît au bas de la publication.

 

20 faits choquants sur la maltraitance des personnes âgées atteintes de démence

  1. Les membres de la famille sont souvent les agresseurs
  2. Les recherches indiquent que près de la moitié des personnes atteintes de démence prises en charge par un membre de leur famille à la maison sont victimes d'une forme de maltraitance (texte version anglaise).
  3. Le manque de soutien, d'éducation et de sensibilisation des aidants familiaux et des soignants en institution contribue à la maltraitance des personnes à leur charge
  4. Nous avons tendance à tolérer la maltraitance envers les personnes âgées en raison de nos valeurs sociétales âgistes et sexistes.
  5. Les aînés qui sont maltraités, en particulier ceux qui vivent avec une démence, peuvent ne pas le savoir
  6. Inciter une personne qui vit avec la démence à modifier sa volonté et / ou à conserver les soins dont il a besoin et qu'il peut se permettre est une forme d'exploitation financière
  7. Les aînés victimes de violence peuvent craindre d'en parler, de peur des répercussions qu'ils craignent de subir s'ils le font.
  8. Les personnes atteintes de démence qui souffrent d'abus peuvent ne pas être en mesure d'exprimer clairement ce qui se passe, peuvent réagir avec des comportements difficiles, puis prendre des médicaments ou être sous sédatif pour gérer le comportement réactif (texte version anglaise)
  9. Les agresseurs (membres de la famille et institutions) peuvent restreindre l'accès à la personne victime de violence afin de dissimuler la violence
  10. Refuser de laisser les membres de la famille et / ou les avocats voir les aînés atteints de démence et identifier les situations potentiellement abusives est en soi une forme de violence
  11. Les abus non intentionnels sont toujours des abus
  12. Les pratiques et politiques institutionnelles légitiment certaines formes d'abus (par exemple, contraintes chimiques et physiques)
  13. La maltraitance envers les aînés est plus compliquée que la maltraitance d’enfants, et donc plus difficile à traiter
  14. La maltraitance envers les aînés est plus courante que beaucoup de gens
  15. On estime que seulement un cas de maltraitance envers les personnes âgées sur 20 a été signalé
  16. Dans une étude canadienne, seulement 47% des infirmières en soins communautaires qui ont été témoins de violence ont déclaré avoir essayé de l'arrêter, ce qui laisserait penser que 53% qui ont été témoins de violence N'A PAS essayé de l'arrêter.
  17. Les professionnels hésitent souvent à poser des questions sur les abus (texte version anglaise), peut-être parce qu'ils craignent que le fait de discuter et de les reconnaître nécessite le renvoi d'un adulte pour protection et déclenche une réaction punitive.
  18. Dans une étude de 2008 (texte version anglaise), 50% des aidants familiaux ont admis avoir abusé des aînés dont ils s'occupaient d'une manière ou d'une autre, le plus souvent verbalement.
  19. Un examen systémique de la prévalence de la maltraitance envers les personnes âgées réalisé en 2007 (texte version anglaise) a révélé que 17% des aidants professionnels ont déclaré avoir commis des actes de violence et plus de 80% ont observé un comportement violent de la part d'autres personnes.
  20. Si nous ne reconnaissons pas et ne traitons pas la maltraitance envers les personnes âgées, cela augmentera probablement

Voici le webinaire dans son intégralité:

 

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